26 mars 2015

Les Particules élementaires, Michel Houellebecq



J' ai fait une crise de complexes avant d'aller parler bouquins avec les amies de mon amie L., traumatisée à l'idée que je n'aurais lu que des polars cette dernière année, ou presque. Du coup, vas savoir pourquoi, je me suis mis en tête que je ne pouvais pas y aller sans avoir lu un livre de Houellebecq. Pourquoi ? N'importe quoi... Cela dit, je l' ai fait pour de vrai. J' ai choisi les Particules élementaires parce que c'est le titre qui m'est venu. 
J' ai bien fait, en réalité : maintenant je sais que je n'aime pas ! 
J'ai trouvé ça glauque, bavard, mal rythmé.  L'auteur tue tous ses personnages iu presque, ça en devient exagéré.

C'est assez rare que je n'aime pas du tout un roman, au pire ils me tombent des mains, ils ne me laissent aucun souvenir... Mais là non, Houellebecq ce sera sans moi ! 


4ème de couv'  :


Michel, chercheur en biologie rigoureusement déterministe, incapable d'aimer, gère le déclin de sa sexualité en se consacrant au travail, à son Monoprix et aux tranquillisants. 
Une année sabbatique donne à ses découvertes un tour qui bouleversera la face du monde. Bruno, de son côté, s'acharne en une quête désespérée du plaisir sexuel. Un séjour au " Lieu du Changement ", camping post-soixante-huitard tendance New Age, changera-t-il sa vie ? Un soir, une inconnue à la bouche hardie lui fait entrevoir la possibilité pratique du bonheur. Par leur parcours familial et sentimental chaotique, les deux demi-frères illustrent de manière exemplaire la société d'aujourd'hui et la quête complexe de l'amour vrai.

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